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« Il était une fois trois frères … Nous allons suivre les aventures extraordinaires De Manque de Chance, le plus naïf des trois. Son voyage nous entraînera Je ne sais où, nous rencontrerons Je ne sais qui, qui nous fera découvrir Je ne sais quoi… Une cascade de décisions surprenantes dictées par une sagesse enfantine implacable. Le triomphe de la pureté. Un délice oriental façon GRIPARI à la sauce Roseau Théâtre. On trouve l’origine de ce conte dans la littérature russe où Pierre Gripari découvre, dira-t-il, de grands conteurs comme AFANASSIEV et surtout GOGOL…

Scénographie et Mise en Scène

Pas de coulisse, les acteurs sont visibles des spectateurs durant tout le spectacle. La magie des transformations s’effectue sous les yeux du public. Ils deviendront ainsi au fil du conte sorcière, grenouille, roi, rocher ou baignoire, tourterelle ou conteur. Un jeu très proche de celui des enfants dans les cours des écoles, qui laisse à l’imaginaire un champ illimité. Notre volonté première est de stimuler l’imagination des enfants en respectant le texte et la personnalité de l’auteur et des acteurs.

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Revue de Presse

Télérama : Henriette Bichonnier C’est un Gripari au souffle puissant que l’on découvre…En faisant le choix d’un conte peu connu, lyrique, riche en rebondissements où l’on navigue entre contre traditionnel et non-sens à l’anglaise, le Roseau Théâtre met en valeur les qualités d’un auteur exceptionnel. Quatre comédiens jouent avec un grand morceau de tissu pour évoquer montagne, palais, rocher, géants, sorcière, et ils sont si convaincants qu’on entre de plain-pied dans les aventures de « Manque de Chance » Ils jouent le texte avec simplicité et l’illustrent avec brio par des gestes, des mouvements du corps et tout sonne juste. Du grand théâtre.

Pariscope / enfants : Caroline Munsch Des aventures extraordinaires : Tout est dans l’imagination, les interprètes nous en donnent un bel exemple. Au travers du conte « Je ne sais quiet je ne sais quoi » petits et grands sont transportés dans un monde imaginaire. Mais quel monde ! Prince,roi, princesse, énigme impossible et histoires à dormir debout. Que d’émotions ! Nous suivons les aventures extraordinaires de trois frères… Leur Père leur fait don de trois pièces d’or. « Manque de chance », le plus naïf des trois utilise cet or d’une drôle de manière et déclenche la moquerie de ses aînés… Un décor qui se compose et se décompose au fil de l’histoire, de l’humour et de l’émotion à la pelle, c’est un délice ! Un hommage aux célèbres contes de Pierre Gripari.

La Marseillaise : J-M G. Du théâtre inspiré pour les enfants : Ce qui frappant avec le Roseau Théâtre c’est ce respect des enfants comme spectateur à part entière sans aune mièvrerie. Le jeu scénique est précis, net, les changements se font à vue, les comédiens exploitent leurs corps et leurs cordes vocales. Les décors sont astucieux et sobres pour laisser à l’enfant la possibilité d’user de son imaginaire. Le conte est savoureux et riche d’enseignements.

Les Echos : La Chronique d’Huguette Meunier Un jeune benêt (dit-on) doit trouver « je ne quoi chez je ne sais qui, je ne sais où » - mission apparemment impossible, dont il s’acquittera parfaitement ! Car je ne sais quoi, c’est le simple charme, inexplicable, qui rend soudain beau ce qui est sous nos yeux ; je ne sais qui, c’est la personne qui, de façon inattendue, nous ouvre les yeux sur notre environnement ; et je ne sais où, c’est le bout du monde ou le coin de la rue, du moment que l’on s’attache à les regarder différemment. Au bout du compte - du conte - , il s’agit d’une sorte d’éloge de la différence. Les enfants aiment ces contes pour leur humour, leur magie, leur vocabulaire Bref, parce qu’ils s’y retrouvent complètement.

Le Dauphiné Libéré – Vaucluse Matin : F.C. Extrait de l’œuvre de Pierre Gripari, celui que d’aucuns avaient appelé l’Andersen français, un conte « le Je ne sais qui, je ne sais quoi » est à l’affiche pendant toute la durée du festival Off. Un conte dont l’écriture, l’interprétation et la mise en scène n’engendrent pas la mélancolie. C’est grâce à ce type de théâtre pour enfants que l’on construit les spectateurs adultes de demain

Revue de Presse

Télérama : Henriette Bichonnier C’est un Gripari au souffle puissant que l’on découvre…En faisant le choix d’un conte peu connu, lyrique, riche en rebondissements où l’on navigue entre contre traditionnel et non-sens à l’anglaise, le Roseau Théâtre met en valeur les qualités d’un auteur exceptionnel. Quatre comédiens jouent avec un grand morceau de tissu pour évoquer montagne, palais, rocher, géants, sorcière, et ils sont si convaincants qu’on entre de plain-pied dans les aventures de « Manque de Chance » Ils jouent le texte avec simplicité et l’illustrent avec brio par des gestes, des mouvements du corps et tout sonne juste. Du grand théâtre.

Pariscope / enfants : Caroline Munsch Des aventures extraordinaires : Tout est dans l’imagination, les interprètes nous en donnent un bel exemple. Au travers du conte « Je ne sais quiet je ne sais quoi » petits et grands sont transportés dans un monde imaginaire. Mais quel monde ! Prince,roi, princesse, énigme impossible et histoires à dormir debout. Que d’émotions ! Nous suivons les aventures extraordinaires de trois frères… Leur Père leur fait don de trois pièces d’or. « Manque de chance », le plus naïf des trois utilise cet or d’une drôle de manière et déclenche la moquerie de ses aînés… Un décor qui se compose et se décompose au fil de l’histoire, de l’humour et de l’émotion à la pelle, c’est un délice ! Un hommage aux célèbres contes de Pierre Gripari.

La Marseillaise : J-M G. Du théâtre inspiré pour les enfants : Ce qui frappant avec le Roseau Théâtre c’est ce respect des enfants comme spectateur à part entière sans aune mièvrerie. Le jeu scénique est précis, net, les changements se font à vue, les comédiens exploitent leurs corps et leurs cordes vocales. Les décors sont astucieux et sobres pour laisser à l’enfant la possibilité d’user de son imaginaire. Le conte est savoureux et riche d’enseignements.

Les Echos : La Chronique d’Huguette Meunier Un jeune benêt (dit-on) doit trouver « je ne quoi chez je ne sais qui, je ne sais où » - mission apparemment impossible, dont il s’acquittera parfaitement ! Car je ne sais quoi, c’est le simple charme, inexplicable, qui rend soudain beau ce qui est sous nos yeux ; je ne sais qui, c’est la personne qui, de façon inattendue, nous ouvre les yeux sur notre environnement ; et je ne sais où, c’est le bout du monde ou le coin de la rue, du moment que l’on s’attache à les regarder différemment. Au bout du compte - du conte - , il s’agit d’une sorte d’éloge de la différence. Les enfants aiment ces contes pour leur humour, leur magie, leur vocabulaire Bref, parce qu’ils s’y retrouvent complètement.

Le Dauphiné Libéré – Vaucluse Matin : F.C. Extrait de l’œuvre de Pierre Gripari, celui que d’aucuns avaient appelé l’Andersen français, un conte « le Je ne sais qui, je ne sais quoi » est à l’affiche pendant toute la durée du festival Off. Un conte dont l’écriture, l’interprétation et la mise en scène n’engendrent pas la mélancolie. C’est grâce à ce type de théâtre pour enfants que l’on construit les spectateurs adultes de demain

Dates de tournées

Verneuil-sur-Avre - 27130 / 13 décembre 2012 à 14H30 / Salles des Fêtes

Dates de tournées

Verneuil-sur-Avre - 27130 / 13 décembre 2012 à 14H30 / Salles des Fêtes

1 2 3 Spectacle Puce verte Tous les spectacles
4

Les contes de la rue Broca II / Je ne sais qui je ne sais quoi

de Pierre Gripari

Mise en scène Marie-Françoise et Jean-Claude Broche

Avec Marie Broche, Cyrille Nitkowski, Mathieu Barbier, Patrice Dehent

Production Originavre

« Il était une fois trois frères … Nous allons suivre les aventures extraordinaires De Manque de Chance, le plus naïf des trois. Son voyage nous entraînera Je ne sais où, nous rencontrerons Je ne sais qui, qui nous fera découvrir Je ne sais quoi… Une cascade de décisions surprenantes dictées par une sagesse enfantine implacable. Le triomphe de la pureté. Un délice oriental façon GRIPARI à la sauce Roseau Théâtre. On trouve l’origine de ce conte dans la littérature russe où Pierre Gripari découvre, dira-t-il, de grands conteurs comme AFANASSIEV et surtout GOGOL…

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Crédits

Conception, réalisation et développement : artaban

Graphisme : Pierrick Biovir